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it's up to you /feat. Myung Soo
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Mar 25 Oct - 15:40

   
   

   

   it's up to you,
mais t'avais dit qu'on ferait des knackis...
   

   

   
Quelle heure est-il ? Les professeurs sont plutôt gentil d’ordinaire avec moi, mais il ne faut pas trop traîner non plus dans les écuries. Si c’était possible je dormirais ici ! Je préfère la compagnie des animaux à celle de mes congénères humains. Certains du moins. Après une dernière caresse à ma jument, je quitte l’écurie discrètement.
Techniquement parlant, ce n’est pas mon cheval à moi. Elle a un propriétaire mais c’est moi qui m’en occupe, c’est avec elle que je fais toutes mes compétitions. J’espère secrètement pouvoir la racheter, j’économise pour cela... Mais je crains que le proprio ne soit pas d’accord. Elle est son gagne pain. Et même si je suis majeur, mes parents me payant tout, ils estiment avoir un droit... sur tout, évidemment.
Sur le chemin vers le dortoir, j’époussette mes chaps tout juste retirées. Tout mon matériel d’équitation est dans la sellerie, mais j’ai bien sûr mes tenues avec moi. Cependant, inutile de ramener davantage de poussière !

Un passage sous la douche et un bon shampooing plus tard, me voici de nouveau d’attaque. Il me faut maintenant rentrer dans ma chambre et affronter le lion, même s’il ne grogne pas. Mon colocataire de cette année à cinq ans de moins que moi, fait de l’équitation (c’est assez rare d’être plusieurs garçons dans cette série !), est muet et semble m’avoir pris en grippe depuis la première fois où il m’a vu. Il n’a visiblement pas apprécié que j’aide à accueillir son cheval et lui administre quelques caresses. Il m’a éjecté du box, son regard flamboyant cherchant sans doute à me ratatiner. Sur le coup j’ai battu en retraite, surpris. S’il ne veut pas qu’on touche à son cheval, je n’y toucherai pas... J’ai bien tenté de lui expliquer que je ne voulais rien de mal, il m’ignore er garde le nez en l’air.
Ça fait quelques semaines que ça dure et ça m’agace ! L’ambiance dans la chambre est glaciale. Mais bon j’ai mis au point un plan... Enfin un truc sur la comète, ça se trouve il va me jeter dehors ! Me prendre pour un mec bizarre, un gamin. Si ça pouvait le dérider, je ne demande que ça...

Un coup d’oeil dans la chambre... Il n’est pas là, mais ne devrait pas tarder, j’ai saisi à peu près ses horaires. Un, deux, trois, action !
Mon lit est couvert de peluches (je dors au milieu sous un amas de couettes, j’adore les nids douillets) et je me dis qu’il devrait avoir lui aussi une ambiance plus agréable. De mon placard, je sors une autre partie de ma collection que je dispose savamment sur son lit ; je  me mets dans en pyjama (un grand t-shirt Serpentard et un caleçon idem - parce qu’on est fan ou on ne l’est pas !), je mets seulement la lumière douce des lampes de chevet avant de fermer les stores. Enfin, j’attrape une ardoise blanche et écris quelque chose dessus avant de me poser sur son lit, au milieu des peluches récemment posées et attend son arrivée, l’air déterminé, les mains tenant fermement l’ardoise.
Sur l’ardoise, il y avait marqué : « Ce n’est pas un plan cul, c’est une tentative de trêve et j'ai des bonbons ! »

Parce que comme je suis vraiment sympa, j’ai aussi sorti ma réserve de bonbons et gâteaux, ici au bord du lit. Y a plus qu’à croiser les doigts...
   
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Mar 25 Oct - 17:07

It's up to you

20h30 ... Déjà, je n'ai pas vu le temps passer. Je soupire longuement et m’atterre à la tache de ranger mes affaires sous l’œil attentif d'Umberto, qui ne manque pas l’occasion de me pousser doucement du bout de son nez pour quémander une dernière friandise. Je l'observe avec attention et lève les yeux au ciel d'un air qui se vaut faussement agacé. Je me redresse légèrement et fouille dans la poche de mon manteau pour en sortir une de ces friandises qu'il aime tant, un grand sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je caresse avec douceur son front. Finalement je quitte son box sous l'ordre de mon coach qui ne veut pas me voir trainer ici plus longtemps, je range mes affaires dans mon casier situé non loin des box et prends la route du retour.

En entrant dans ma chambre j'aperçois avec stupeur que toutes les lumières ont été éteinte excepté les lampes de chevets. Je fronce les sourcils et mon regard croise enfin celui de Toneri qui s'est visiblement amusé à refaire la décoration de mon lit avec ses peluches de merde. Je m'approche de lui, l'observe de longues secondes dans les moindres coutures et finalement tourne les talons pour pénétrer dans la salle de bain pour me doucher et enfiler un pyjama .

Lorsque j'en ressors habillé uniquement d'un caleçon, une serviette sur les épaules que j'utilise pour me sécher les cheveux, Toneri est toujours couché sur mon lit. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres tandis que j'enfile un t-shirt trop grand pour moi, je me dirige vers mon bureau et m'installe sur ma chaise. J'allume ma lampe histoire d’être un minimum éclairé et commence à écrire sur l'un de mes fameux carnets. Une fois fini je me tourne vers Toneri et le lui montre
« La prochaine fois offre moi ton cul Toneri, j'en ai rien a faire de tout ça » Pour appuyer mes propos je pointe du doigts ses foutus peluches et tout le reste avant de me retourner pour écrire de nouveau. Une fois de plus je lui montre la feuille  sur laquelle est écrit ces mots « Dégage de mon lit. »

Suite à ces mots je me redresse et me dirige vers mon lit, je pousse l'épaule de Toneri et lui montre d'un mouvement de tête son propre lit.



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Mar 25 Oct - 17:38

   
   

   

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Le voilà enfin. La porte s’ouvre sur Myung Soo et son éternel air « foutez-moi la paix ». Il m’observe et s’approche alors que je ne bouge pas d’un pouce, bien décidé à instaurer la dialogue d’une manière ou d’une autre. Puis il se désintéresse et va prendre sa douche. Ah ! Je suis sûr qu’il est train de réfléchir sur ce qu’il doit faire. Des-ta-bi-li-sé qu’il est, le grand adolescent hautain. Cette idée me redonne davantage de volonté pour mener ma mission à bout. Ce n’est pas trop mon genre mais, hors de question de passer une année dans une ambiance de frigidaire.
Immobile, j’attends toujours. Au bout de ce qui paraît être un temps interminable, Myung Soo ressort en petite tenue, serviette au cou, style grand sportif qui sort de la douche dans une pub pour crème de rasage. Si, j’ai été la chercher loin celle-là. Je le fixe toujours tandis qu’il se revêt d’un t-shirt qui appartient sûrement à son cheval vu la taille.

Mais les choses bougent. Assis à son bureau, il a ressorti son instrument de communication : son carnet. C’est un début... À voir ce qu’il va sortir. Et je ne suis pas déçu !
Ça alors, il est intéressé ou quoi ? Je ne crie pas que je suis gay sur les toits, ce doit être un hasard, une réponse à ma boutade par une autre. N’empêche qu’il se balade en caleçon et t-shirt, exactement la même tenue que moi. Je ne crois pas aux coïncidences comme celle-là. Ça peut être l’occasion de le faire sortir de sa coquille et qu’il me dise enfin ce qui ne va pas, ou tout simplement qu’on puisse conclure une trêve.

Sans me laisser le temps de répondre il vient me pousser, désireux de reprendre son lit. Il me désigne le mien, juste au-dessus (par super pratique ces lits superposés ! ce doit être moins cher pour l’administration). Je n’ai pas envie de lui obéir, au contraire. Il m’agace avec ses grands airs.
J’attrape son bras qui m’a poussé et le tire d’un coup vers moi. D’un geste, je m’écarte pour le laisser tomber sur son lit et tout aussi rapidement je suis à cheval sur lui, maintenant ses mains au-dessus de sa tête, contre son coussin.
Avec un grand sourire radieux peut-être pas idéal pour la situation, je m’adresse à lui en ces termes : « Certainement pas, je reste. Je te casserai les pieds jusqu’au bout... Ou alors c’est ton cul que je casserai, puisque l’idée a l’air de te plaire. » Je me tais et le maintiens avec force pendant quelques secondes avant de le relâcher, mais je suis toujours assis sur lui. Je lui tends mon ardoise et mon crayon pour qu’il puisse communiquer quand même.

Cette fois-ci j’arbore un air plus neutre, un peu pensif. « Explique-moi, montre-moi, peu importe. Mais on ne passera pas un jour, une nuit de plus dans cette ambiance. »
   
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Mer 26 Oct - 1:28

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Une fois mon ordre lancé j'attends patiemment que cet idiot se décide à bouger son cul de mon lit, mais visiblement celui ci ne l'entend pas de la même manière que moi. Il attrape soudainement mon poignet entre ses doigts et me tire brusquement vers lui, n'y étant absolument pas préparé je ferme les yeux sous le coup de la surpris appréhendant la suite des évènements .Lorsque j'ouvre de nouveau les yeux, mes mains sont clouées au dessus de ma tête sans aucune possibilités de mouvements et Toneri est tranquillement installé à cheval sur mon corps. Mon regard s'ancre alors dans les siens et je déglutis nerveusement visiblement gêné par la situation. Nous nous observons de longues secondes avant que celui ci ne prenne la parole.

« Certainement pas, je reste. Je te casserai les pieds jusqu’au bout... Ou alors c’est ton cul que je casserai, puisque l’idée a l’air de te plaire. »

Le rouge me monte violemment aux joues suite à sa reponse et je m'empresse d'abattre mon poing contre son torse dés que celui ci relâche mes poignets , lui intimant expressément  de dégager de là. Je le fusille du regard lorsqu'il me tend son ardoige et je la lui arrache des mains, pour y écrire avec rage ces quelques phrases tout droit sortie du fond de mon coeur

« Enfoiré ! Je te laisse deux secondes pour dégager de là, où je te jure que ça va mal finir pour toi ! » . Je lui montre mon ardoise et attend patiemment qu'il ait finit de lire pour une fois de plus recommencer à écrire.

« J'ai rien a te dire. » Je jette l'ardoise à mes cotés et vient tirer délicatement le bout de mon t-shirt pour tenter de camoufler un peu plus mon corps. Je joue longuement à faire rouler le bout de tissus entre mes doigts et finalement je redresse légèrement mon visage vers Toneri, quand va t-il me lâcher celui là ? Je commence sérieusement à étouffer, ou crever de chaud...


-   Mais t'avais dit qu'on ferait des knackis...





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Mer 26 Oct - 10:36

   
   

   

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Myung Soo n'apprécie pas la situation et vu la couleur de ses joues, il est mal à l'aise. C'est un peu l'effet escompté, mais je me demande aussi s'il ne va pas me faire le coup de la cocotte minute et exploser. Bon d'accord, techniquement je préfère les plus âges (chacun ses vices...) mais la chaleur de son corps n'est pas désagréable. Mais ce n'est pas le propos, je devrais me concentrer un peu sur le petit rebelle !
Il me donne un coup dans le ventre, je plie un peu. Quand on s'est déjà reçu un coup de sabot dans le ventre, on devient un peu insensible, je suis sûr qu'il est à même de comprendre. C'est un collègue cavalier après tout. Vu à la façon dont il écrit, il a probablement autant envie de bousiller le crayon que de me l'enfoncer dans l'oeil.

Je lis ce qu'il écrit. Ahah des menaces mais rien de plus... Il a beau me casser les pieds, si je n'avais pas un peu soit tant d'affection pour lui je ne m'épuiserai pas à essayer d'établir la communication. Myung Soo tente de rabattre au mieux son t-shirt mais j'observe son visage, de plus en plus rouge.
« Nan, j'ai pas envie de bouger. » J'approche un peu mon visage. « Tu ne vas pas me dire que tu n'arrives pas à respirer ! Je suis assis sur ton service trois pièces, pas sur tes poumons. » À moins que... Ce soit justement le souci. C'est clair que maintenant que je réalise moi-même, difficile de rester indifférent. Ça me file chaud aussi. Je me redresse et j'inspire un grand coup.

Je pose une main à côté de lui. « Écoute, j'aimerais juste que la situation s'arrange. Et je suis prêt à tout pour que ce soit le cas, que tu te décides à communiquer. » Cette fois-ci j'approche mon visage du sien pour lui murmurer : « S'il te plaît. »
C'est sûr que le prendre à rebrousse poil n'est pas nécessairement une bonne idée, mais tout ce que j'ai tenté auparavant n'a pas marché.
   
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Mer 26 Oct - 11:30

It's up to you


« Nan, j'ai pas envie de bouger. » J'ouvre la bouche un bref instant et soupire avant de me laisser entièrement tomber sur le lit, dans un geste qui se vaut tout particulièrement désespéré. Il se fout de ma gueule c'est pas possible autrement, je ferme lentement les yeux et inspire un grand coup l'écoutant argumenter sur l'impossibilité d'étouffer dans cette situation. J'ouvre de nouveau les yeux le fusillant du regard avant de me redresser pour m'asseoir de nouveau. J'observe un long moment le garçon et recule instinctivement mon visage du sien. Maman, pourquoi il s'approche encore !? Il ne connaît pas le principe d'espace privé ou quoi .

Je mordille doucement ma lèvre face à ces mots et prends de nouveau possession de l'ardoise et du feutre. Je griffonne longuement sur celle-ci et le lui montre.
« C'est sur et certain qu'avec ta méthode d'homme des cavernes tu vas me donner envie de te parler. » J'efface de nouveau ma phrase et commence à en écrire une autre.
« Justement t'es assis sur mon service trois-pièces, imbécile ! » J'attends que celui-ci ait fini de lire pour une fois de plus effacer mon texte.

Je mordille nerveusement ma lèvre cherchant comment formuler ma prochaine phase. La pointe du feutre se dépose sur l'ardoise, je commence à écrire puis efface le tout de nombreuses fois. Finalement je tourne l'ardoise vers celui-ci un mince sourire aux coins des lèvres. « Pourquoi souhaites-tu autant me parler ? Je n'ai rien d’intéressant alors cesse de te casser les pieds pour rien »


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Mer 26 Oct - 13:09

   
   

   

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Je le sens se relâcher mais il semble au comble de l'exaspération. Je suis tout sauf bon en relations sociales, laisse-moi un peu ma chance. Il préfère se reculer quand je m'approche, comme si je menaçais de le contaminer. Il se remet à écrire frénétiquement sur l'ardoise - je vais lui filer en guise de cadeau et je lis en fronçant les sourcils. Et cette fois-ci je m'insurge !
« D'homme des cavernes ? Parce qu'eux ils avaient des peluches, des bonbons et un caleçon de compétition ? Arrête de chercher des vieilles excuses de gamin grincheux... ». J'ai une moue un peu triste cette fois-ci. C'est clair qu'il n'est pas prêt à faire des efforts...

Il mordille ses lèvres, il hésite alors que je conforte ma place sur son bas ventre sans lui répondre. Un siège moelleux et chaud, c'est agréable. Je suis à deux doigts de ronronner. Je finis par prendre l'ardoise qu'il tend pour lire. Je le lui rends. « Comment veux-tu que je sache si tu es intéressant ou pas. À part me jeter hors d'un box et m'envoyer des regards type reine des glaces, on a pas eu des masses de contact. » Je soupire. « Tu ne laisses pas de chance... »
Je baisse la tête et la pose sur son torse. Il ne doit plus voir que mes cheveux. Je suis pris soudain d'une certaine.... inspiration.

Posant mes mains sur ses cuisses, je murmure : « Tout le monde n'aide pas "discuter". C'est pas nécessairement mon truc. Mais s'il y a d'autres moyens par lesquels tu préfères, tu aimes communiquer, fais moi comprendre lesquels. » Parce que je reste convaincu qu'il faut que cette situation se débloque.
   
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Mer 26 Oct - 13:57

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Je tends l'ardoise à Toneri qui fronce subitement les sourcils en lisant mes propos, le jeune homme lève ses yeux vers moi et s'exprime enfin.

« D'homme des cavernes ? Parce qu'eux ils avaient des peluches, des bonbons et un caleçon de compétition ? Arrête de chercher des vieilles excuses de gamin grincheux... ».

Je souris amusé par sa réaction et la moue attristée qu'il affiche, il me donnerait presque envie de le prends dans mes bras. Au même moment je reprends l'ardoise entre mes doigts tandis qu'il n'est toujours pas prés de lâcher sa place. Tout compte fait, qu'il reste ici si l'idée lui plaît. Je répète le même manège pour argumenter sur l'inutilité de son acte, mais Toneri est bien plus têtu que je ne le pensais.

« Comment veux-tu que je sache si tu es intéressant ou pas. À part me jeter hors d'un box et m'envoyer des regards type reine des glaces, on a pas eu des masses de contact. » Il soupire et pose délicatement sa tête contre mon torse me faisant sursauter par la même occasion, à cet instant précis je ne sais pas quoi faire, ni quoi dire. . « Tu ne laisses pas de chance... »

Il a entièrement raison, je ne lui ai jamais laissé sa chance. C'est à mon tour de me sentir mal et ma main vient timidement se déposer dans ses cheveux, avec lesquels je joue quelques instants avant de venir empoigner délicatement son menton entre mes doigts. Ma main libre se faufile jusqu'à la sienne dorénavant déposer sur ma cuisse et poursuit lentement mon cheminement,  je fini alors par la déposer avec hésitation sur sa cuisse. Je reste de longues secondes à l'observer dans cette même position avant de lâcher son menton pour reprendre mon crayon.

« Un caleçon de compétition ? Je suis entièrement d'accord avec toi. Serpentard est le meilleur choix que tu pouvais faire » J'ai fait un effort, un effort tout particulièrement idiot mais maintenant c'est à son tour de profiter de l'opportunité que je lui offre. Celle d'engager une "conversation"


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Sam 29 Oct - 14:21

   
   

   

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Entre deux têtus, on devrait s'entendre. Mais il est aussi sage de remarquer que c'est un mélange explosif... Ou peut-être pas. D'habitude je n'ai pas le temps d'argumenter avec lui, il est en position de force. Mais les rôles sont inversés à présent.
Pourtant je me demande si quoi que ce soit peut le toucher. A t-il vraiment envie d'être touché ? J'ai beau le traiter de glaçon, je suis quand même perplexe. Au-delà des apparences se cachent beaucoup de choses, j'en suis certain.

Je soupire, la tête posée contre son torse. Je ne sursaute pas lorsque je sens ses doigts se faufiler dans mes cheveux. Il me fait relever la tête, je sens son autre main sur ma cuisse. Je suis tellement surpris que je me contente de le fixer, le souffle court.
Ce que Myung Soo écrit sur l'ardoise fait revenir au galop mon humeur combative et décidée. Un léger sourire aux lèvres, j'acquiesce : « Et encore. Tu n'as pas vu mon serpent. » J'avoue, j'abuse ! Ou pas. On peut bien partager la passion de Harry Potter et aussi celles des belles choses... Sans me jeter des fleurs, bien sûr.

Cette main... qui est toujours posée sur ma cuisse. J'essaye de ne pas y faire attention mais rien à faire, ce toucher est très, très agréable. Je prends l'initiative de caresser son bras, de haut en bas, l'air presque pensif. « Tu aimes bien lire alors ? Écrire aussi peut-être... Tu as une belle écriture. » Je regarde encore l'ardoise où il écrit. « Je te la donne. Ce n'est pas aussi classe que tes carnets, mais ça a un côté pratique ! »
Et je continue doucement de le caresser... Mais ma main est retournée sur sa cuisse.
   
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Dim 30 Oct - 0:51

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Lorsque mes doigts se faufilent dans ses cheveux Toneri a un léger mouvement de sursaut me faisant arrêter tout mouvement. J'hésite un long moment avant d'attraper son menton entre mes doigts et l'obliger à relever la tête. Il affiche un air surpris et ses yeux me scrutent en silence, seules nos respirations font écho dans la pièce. Je mordille légèrement ma lèvre et recommence à écrire sur l'ardoise. Sa réaction ne se fait pas attendre, un léger sourire se dessine sur ses lèvres tandis qu'il prend de nouveau la parole. Sa réaction me prend de court et je me mets à rougir doucement, aish pourquoi est-ce qu'il se montre autant pervers ? J'hésite à retirer ma main mais celle-ci ne semble pas vouloir quitter sa cuisse, je dois vous avouer que j'aime bien le toucher... Enfin... C'est juste étrange de faire ça, je n'ai aucun contact avec les autres et le retrouver assis sur mon bas-ventre me rend beaucoup trop sensible. Je ne suis pas gay... Je crois. Enfin passons, le voilà qui recommence à me "caresser" laissant sa main glisser le long de mon bras.

« Tu aimes bien lire alors . Écrire aussi peut-être... Tu as une belle écriture. » Mes lèvres s’entrouvrent puis se referment, finalement je forme difficilement le mot merci espérant qu'il ait su lire sur mes lèvres. « Je te la donne. Ce n'est pas aussi classe que tes carnets, mais ça a un côté pratique ! »

Un petit sourire se dessine sur mes lèvres à ses mots et je recommence à écrire sur l'ardoise « Merci ... Je suis désolé pour tout » Je baisse subitement la tête honteux de mes actes et de ce que je viens d'écrire. Je me suis excusé... Je ne m'excuse jamais. Mes yeux se posent sur sa main qui redescend sur ma cuisse et je ne peux m’empêcher de sourire de nouveau appréciant son toucher.


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